Re: TC Bal de la Saint-Valentin 1977

par **Regulus Black** 25.03.24 23:13

Dale a tu cuerpo alegría Macarena
Que tu cuerpo es pa' darle alegría y cosa buena

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

C’est bancal même s’il se sent d’humeur à dire des vérités ce soir. Peut-être pas toutes, s’il réfléchissait deux minutes, il saurait que c’est louche ce qu’il se passe dès l’instant ou il aurait vu Peeves au-dessus de leurs têtes. Sauf qu’il n’y fait même pas attention, pris dans l’instant du moment, surpris aussi par le câlin bref d’Azadeh à qui il rend son étreinte qui fait du bien quoiqu’il puisse en penser en temps normal. C’est différent ce soir, il se sent plus léger, c’est comme s’il n’y avait plus le poids d’un tel nom sur ses épaules, d’un futur à assumer seul maintenant que Sirius est parti de la maison. Mais les pensées négatives ne sont pas présentes ce soir et s’il a l’envie d'aller le voir lui et Leia pour un câlin groupé les voilà trop loin, et peut-être heureusement lui soufflerait sa conscience si seulement, elle avait la tête à ça. Il sourit de les voir ensemble, ravi pour eux avant d’embarquer James sur la piste sur un morceau qu’il a entendu dans la salle de détente un jour, il l'aime Bowie. Il demandera à Sirius un jour de voir où il peut trouver un disque ou quelque chose pour écouter même s’il doit aller chez les moldus et ça lui fait rien, ce soir, de se dire qu’il ira peut-être chez ce peuple finalement pas si différent d’eux.

Il est dans un autre monde dans sa tête ce soir, dans sa bulle et il semblerait que beaucoup soient dans le même état mais il le remarque à peine quand ça l’amuse plus qu’autre chose cette ambiance bien différente d’ordinaire. Il sent ce cœur bien souvent figé battre un peu plus vite quand James ne le rejette pas malgré sa jolie cavalière, malgré ces quelques nombreuses personnes qu’il devait probablement rejoindre ce soir. Il n’en fait rien, tente de ne pas trop le laisser paraître qu’il est ravi sauf qu’il est. Tant qu'il manque un pas de cette danse approximative qu'est le Twist et tente de se rattraper à James. « Désolé. » Il n’est pas familier avec cette danse, lui qui est toujours si droit. Il y a ce rougissement qu’il peine à cacher et même s’il a cette impression de légèreté ce soir, une petite part de lui n’a pas envie que James le remarque. Il parle alors quand le morceau suivant est plus calme, leur permet cette danse moins agitée, lui donne cette excuse d’être ainsi contre James et d’y rester quand les pas de cette sorte de slow lui viennent naturellement. « C’est une belle soirée. » Il le pense alors que dix minutes plus tôt à peine il maugréait contre un Cupidon mal intentionné. C’est oublié. « C’est grâce à ce Cupidon, tout le monde semble heureux. » C’est ce qu’il ressent et quelque part, cela fait beaucoup de bien. « Et je le suis d’être là. » A tes côtés, ce qu’il ne dit pas. C’est beaucoup trop tôt. Il le sait quelque part dans cet esprit manipulé que sans Peeves et l’artefact il ne se serait jamais laissé aller à de tels pas de danse, de telles affirmations qu’il ignorait jusqu’alors.

tenue reggie et la fameuse broche

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Remus Lupin** 25.03.24 23:27

Le Bal de la Saint-Valentin

ft. @Adonis Scott & les autres

Cette sensation était étrange trop étrange. Comme si l’animal en moi prenait le dessus sur tout.

Je venais d’avouer mes sentiments les plus inavouables à Lily, avant de me diriger droit vers l’homme qui me rendait aussi rouge qu’une tomate. Et ça sans rougir. J’avais eu un pas déterminé, un sourire et j’avais emmené Adonis au fond de la salle.

On aurait dit que j’avais piqué l’assurance de Sirius. Je laissais ma luxure prendre le dessus, nos lèvres se complétaient parfaitement. Les mains d’Adonis se glissèrent sur mes hanches, me rapprochant de lui. Je m’avançais comme je le pouvais, un sourire traversant mes lèvres, tandis que des soupirs s’échappaient de mes lèvres. Je le dévorais.

Comme une proie.

Ma phrase fit comme un électrochoc au né-moldu qu’il me touche. Son coté dominant reprend le dessus, comme lors de notre premier baiser. Je souris contre ses lèvres, lui donnant accès à ma langue, entrant dans une danse sensuelle. Je ne sais pas ce qui m’arrive, mais cette faim de chaire qui torture mon ventre est nouvelle et délicieusement agréable. Un désir puissant et intarissable. Comme si…comme si un objet magique avait enlevé les barrières mentales que je m’étais fixé. Je finis par laisser aussi des marques sur son cou. Des marques de morsures d’amour.

Je finis par le fixer de mes yeux de miel, brulant de l’intérieur. Je vais finir par me consumer tout entier.

-Adonis je…J’aimerais danser avec toi. Avant qu’on aille plus loin.

Est-ce que j’étais vraiment prêt à réaliser mes fantasmes? Je ne sais pas. Tout ce qui s’allumait dans mon esprit, c’était une danse. Une danse pour montrer à tout le monde qu’il était mien,.

Andrea

Résumé et tenue de Remus:

par **Charlie T. Tierlney** 25.03.24 23:49

Le Bal de la Saint-Valentin

ft. @Thomas D. Maxwell & les autres

Voir ma grand-mère avait été un choc. Voir mon grand-père plus loin aussi.

Mais ce fut sans compte l’ouverture des festivités avec le discours de Dumbledore et les premières danses. Je vois Calli et Stella vers les deux garçons de mon coeur. Sûrement que la blonde est entrain de leur faire la morale. J’espère au fond de moi. Et clairement si j’aimais les filles, c’est avec elle que je sortirai. Euh…c’était normal cette pensée?
Pendant que Cally se dirige vers mes cousins, mon regard suit les différents évènements de la pièce sans rien comprendre. Je suis perdue.

Totalement perdue.

Mon regard se posait sur Scorpius qui discutait avec Stella et Thomas…qui venait dans sa direction. Son regard alla de l’un à l’autre rapidement. Pourquoi son coeur battait si vite? Pourquoi elle avait envie de les embrasser tout les deux? POURQUOI MAINTENANT?

Et là quand Thomas se glissa devant moi, je pronoNçais en même temps que le rouge et or.

- J’aimerais qu’on danse ensemble s’il te plait.

Son regard dans le mien, une étincelle s’alluma et j’eus un éclat de rire. Je finis par le tirer sur la piste de danse, posant mes mains sur ses épaules. Je finis par pousser un soupir, mon regard dans le sien.

- Je voulais t’inviter depuis le début,- Après je sais que c’est pas ton truc les bals, mais vu notre rendez-vous l’autre soir et les discussions avec Calli, je me suis dit que peut-être on aurait pu être cavaliers même en amis tu vois. Enfin, je te vois bien plus que comme un ami…

SHIT! Qu’est-ce que je venais de dire? Mes joues vibrèrent au rouge, mais ma langue s’activa encore.

- Je veux dire…depuis notre baiser, je me pose beaucoup de questions et si j’ai esquivé cette discussion l’autre soir…c’est que j’ai peur que tu me repousses. Et que je suis perdue.

Ca partait vraiment en déclaration…

- Je crois que je commence vraiment à te voir autrement Thomy. Comme Snow et Yrgitte.

La référence à GOT, notre truc moldu à nous.

- Tu me plais beaucoup et j’espère que cette déclaration n’entachera pas nos liens, parce que vivre sans toi c’est impossible.

Et dans cette danse, je déposais alors un baiser au coin de ses lèvres, comme une attente inespérée. Je discuterai avec Scorpius plus tard. Pour lui avouer mes sentiments.

Andrea

Résumé:

par **Mary Macdonald** 26.03.24 0:04

Le moment où vous réalisez que la Saint-Valentin approche, votre cœur bat plus vite non pas parce que vous êtes amoureux mais parce que cela vous coûtera plus cher !

F

ebrary
14
1977

ft tout le monde

Tu avais rapidement fait un tour vers le buffet. Tu goûtais à plusieurs amuse-bouches, les elfes de maison s'étaient encore dépassés, entre la nourriture qui était pour le moment excellente et la décoration qui te mettait des étoiles dans les yeux... Entre deux bouchées, le directeur avait pris la parole, puis déclarait officiellement le bal ouvert. Tu regardais les couples s'avancer vers la piste, certains étaient sereins, d'autres plus hésitants. Tu les observais, sourire aux lèvres. Puis ton regard balayait la pièce, tu voyais Rémus avec Adonis, ton regard s'agrandissait de surprise face à ce rapprochement plutôt... Chaud. Tu fronçais les sourcils, tu devais certainement rêver, mais non l'image était toujours aussi nette. Avaient-ils consommé quelque chose? Puis tu voyais Régulus entraîner James sur la piste de danse. La nourriture y était certainement pour quelque chose. Quelqu'un avait dû l'ensorceler pour provoquer des hallucinations ! La prochaine fois tu réfléchiras à deux fois avant de te jeter sur le buffet. Il fallait trouver une solution et vite. Rapidement tu trouvais Lily, tu marchais d'un pas assuré malgré tes hauts talons, évitant les gens sur ton chemin, tu voyais peut-être des choses étranges mais au moins tu ne titubais pas. « Lily ! J'étais au buffet, j'ai mangé des mignardises, et depuis il se passe des choses étran... » Tu t'interrompais, oubliant déjà le début de ta phrase en croisant le regard de ta meilleure amie. « Ohhhh c'est fou comment le maquillage met en valeur tes yeux, j'espère que tu vas en faire tourner des têtes ce soir. » Tu rigolais avant de prendre la jolie rousse dans les bras. Tu te sentais plus apaisée. Serrant ton étreinte tu lui murmurais - pas très discrètement à son oreille. « Tu sais, tu es brillante, belle, généreuse. Tu es une fille géniale, je suis si contente de t'avoir comme amie, et je suis persuadée que même 20 ans après nos ASPIC on sera toujours amies toi et moi. » Tu l'embrassais sur la joue. T'étais loin d'être aussi démonstrative d'ordinaire. Tu retirais la trace de rouge à lèvres que tu avais laissé sur sa joue, puis tu te retournais croisant le regard de Sirius et sans réfléchir tu lui lançais. « Whaou... T'es le garçon le plus canon de la soirée. » Tu venais vraiment de lui avouer ça ? Honteuse, tu détournais vite le regard, et tu attrapais un verre d'un élève qui passait près de vous avant de le boire d'une traite. Mince c'est vrai que ce n'était pas alcoolisé. Pourquoi tu lui avais dit ça ? Il allait encore plus attraper la grosse tête maintenant.

résumé : Mary pense que la nourriture a été ensorcelée car elle voit Remus&Adonis plus que proches, et James&Reg danser ensembles. Elle veut le dire à Lily, mais au final elle lui fait une déclaration amicale et avoue à Sirius qu'il est grave canon.

Spoiler:

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **James Potter** 26.03.24 0:25

And dream of the day we embrace and combust

Valentine, my decline
I'm always running to you
14.02.1977

☾☾La musique, sa main dans la mienne, alors que je lui montrais les pas du twist, en arquant un sourcil, faisant bouger mes chevilles et mes orteils pour lui montrer le mouvement de glissade. Il tente de me suivre, je ris de se spas hasardeux mais je ne me moque pas. Il n'y avait plus de moquerie, plus de maison, plus de couleurs. Simplement l'instant présent et l'euphorie du moment. Je ne prenais même pas attention à ce qui se passait autour de moi, toute ma concentration dirigé sur Regulus. Il manque de tomber, se rattrape à mes bras et je ris de plus belle. Sa chaleur près de moi, son sourire, ses yeux qui s'illuminaient, tout faisait battre mon cœur un peu trop vite pour que se soit parfaitement normal. Il s'excuse alors que je reste accroché à ses bras, lui au mien.

La musique se termine plus vite que prévu et quelque chose de plus lent se met à se jouer. Il ne se détache pas au contraire. Il vient contre moi. Comme au ralenti, je vois ses bras m'encercler alors qu'il se balance d'un pied sur l'autre dans une sorte de slow. Cette fois ci je manque de respirer quand je sens mon palpitant s'affoler. Instinctivement, je glisse mes bras contre lui, l'encercle aussi. Il est contre moi, plus petit. Mais cela ne me dérange pas. Un sourire vient malgré tout étirer mes lèvres sans que je ne m'en rende compte. Il semble moins agité, alors qu'il prend la parole. Une belle soirée.

« C'est une très belle soirée oui. »

Je murmurais pensivement quand je posais mon menton contre le haut de son crâne. C'est là que j'ai sentis ce parfum. Ce truc que je n'avais pas trouvé en cours de potion. Cette odeur, en dehors du parfum délicat de Narcissa. Non, cela devait être les fleurs qui recouvraient la salle. Surement. Je ris quand il parle de Cupidon alors que je le gardais presque possessif contre moi. Puis il le dit. Qu'il est heureux d'être là, lui aussi. Je sens mes joues chauffer un court instant face à cette révélation. Heureusement que la piste n'était pas tant éclairé que cela.

« Je suis heureux d'être là aussi. »

Ce n'était pas un mensonge, pas une vérité non plus. Relevant mon menton de sa tête, une main autour de ses épaules, une autre vient replacer une boucle derrière son oreille. Geste stupide, instinctif. C'est là que je me souviens de cette broche. Pourquoi je le lui avais offerte déjà ? Je fronce les sourcils mais je prend le courage de lui dire.

« J'ai vu que tu portais la broche. C'est stupide hin ? Je l'ai vu, j'ai pensé à toi. »

Venais je réellement de lui dire que je lui avais fait un cadeau de st valentin ? Ou non. Simplement un cadeau. Tout court. C'est bien ça, un cadeau tout court. J'en faisais bien à Sirius, Remus et Peter. Même à Thomas. Je pouvais bien en faire à Regulus aussi n'est ce pas ? Alors pourquoi cela sonnait si différemment ? Ou était ce l'ambiance, l'euphorie ressenti ou un truc un peu plus étrange encore qui venait tout mélanger dans mon esprit ? Je me sentais confus, et pourtant je ne me suis jamais senti aussi à ma place que maintenant. Quelle sensation étrange.

CODAGE PAR AMATIS | 1012 mots

Tenue de jaja:

par **Charity Burbage** 26.03.24 1:15

Voglio un mondo rosa pieno di colore

Valentine, my decline
I'm always running to you
14.02.1977

☾☾Le discours de Dumbeldore se fait puis il s'en va. Déjà des élèves se jettent sur la piste pour danser. Je le regarde faire. J'ai vu Potter et Azadeh s'approcher de Regulus et l'ambiance devint soudainement plus légère alors que je gardais contact avec Elorah. L'instant se fit plus joyeux, plus détendue. Azadeh avait attrapé regulus dans les bras et ce dernier lui avait rendu avant de prendre Potter par la main et de l'entraîner sur la piste de danse. Les yeux ronds, je fixais Azadeh et Robin s'éclancer sur la piste. Les langues semblaient soudainement se délier alors que je mon esprit se focalisa sur une seule personne qui n'était pas présente ce soir. Alors je me détachais de Elorah.

« Il manque quelqu'un. Je vais le chercher, je reviens ! »

Et j'étais partie non sans avoir vu Lucius et Narcissa s'élancer sur la piste eux aussi. J'avais couru les étages, l'avait trouvé dans la salle de classe de potion. L'avait remercié pour son cadeau que j'avais posé dans mon dortoir au passage, sur ma table de chevet avant de me précipiter vers la grande salle. Il n'était pas encore arrivé. J'attends plusieurs minutes et mon sourire commence finalement à disparaître. Et si il ne venait jamais ? Mais j'entendis des pas, il était là.

Un sourire reprit mon visage, le soulagement se lisant surement dans mes yeux. Il s'excusa du retard et ne me formalisa pas plus que ça, d'un geste de la main, je balais ses excuses. Ce n'était pas grave. Il doit être de mauvais poil d'avoir été trainé presque de force après tout. Je ne m'attendais pas à ce qu'il saute de joie comme un boursouffle heureux de gambader ! Je me tourne vers lui, lui fait face, réajuste sa cravate, l'aplatit du paume de ma main dans un geste très sérieux et concentré.

« Voilà, c'est mieux comme ça. Il te va bien ! Cela te change du noir. Bien que je n'aime pas le noir mais le gris, c'est plus joli sur toi ! »

Je lui sourit et hocha la tête positivement quand il me tendit son bras sans sourire, me demandant si j'étais prête. Je hoche la tête positivement et lui attrape le bras à mon tour.

« Plus que prête ! »

J'avais envie de le trainer à l'intérieur mais les convenances voulaient que se soit les hommes qui amorcent le mouvement alors je le laissais faire. Je reste bluffé une deuxième de la décoration L'euphorie que j'avais ressenti me gagne de nouveau. Je souris, surement encore plus que d'habitude.

« Si tu ne veux pas danser sur la piste, on peut toujours danser à l'écart. »

CODAGE PAR AMATIS | 766 mots

>> Tenue de Chachajuste là
>> Chaussure de Chacha, parce qu'on est des poufsouffle, helle yeah ! juste ici !

par **Rowan A. Mulciber** 26.03.24 8:49

CAR C'ÉTAIT LE JOUR DE LA SAINT-VALENTIN, LE JOUR OÙ CHAQUE OISEAU VIENT CHOISIR SON PARTENAIRE

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Après le discours de leur cher directeur et en voyant Ailys s'impatienter, Rowan prit la main de sa cavalière d'un soir et l'entraina sur la piste de danse. Il ne connaissais guère l'air que l'on jouait ce soir - Winona l'avait plutôt habitué à la musique classique - mais le fiston Mulciber ne se laissa pas abattre. Il fallait simplement se caler sur le rythme, et improviser.

Enfin vint la question qu'il attendait et redoutait. Il supposait qu’Ailys aborderait ce sujet, mais pas ainsi. Au sous-entendu de la jeune femme, il pensa immédiatement à Severus qui devait l'attendre. Son cœur se serra d'une étrange manière. Savait-elle ses choses que lui-même ignorait ? Quoi qu'il en soit, il devait répondre avec honnêteté à sa question. C'était le marché. Et quelque chose le poussait à dire la vérité.

« Parce que je t’apprécie. » La réponse fila sans qu’il n’ait le temps de réfléchir à ses mots. « Il y a plein d’autres filles qui auraient pu faire l’affaire, mais tu es la seule avec qui je savais que ça se passerait bien... Et la seule en qui j'ai un minimum confiance. »

Il y avait bien Azadeh qu'il appréciait également, mais il ne se voyait pas l'embarquer dans ce genre de fête. Les rumeurs sur la famille Gaunt étaient trop présentes ces derniers temps et si Rowan n'en avait rien à faire, il savait que ce serait risqué que de s'exposer avec elle devant toute l'école. Sa mission consistait à redorer le blason Mulciber, pas à les faire accuser de collaborer avec ceux qui avaient dévasté Pré-au-Lard...

Il croisa le regard plein de provocation d'Ailys. Elle jouait avec lui, pourquoi ne pas faire de même ? Il reprit les rênes de la danse alors que le chanteur moldu resonnait dans la Grande Salle. You like me, and I like it all. Rowan se rapprocha de sa partenaire, sourire espiègle aux lèvres, pour le plaisir de la danse. We like dancing and we look divine. Divins. Bien sûr qu'ils l'étaient. Ils étaient là pour ça, pour briller. Quelque chose d'étrange flottait dans l'air et il appréciait cet instant plus que de raison. Ne se laissant porter que par la musique, il en oublia tout le reste.

Et Ailys entama les confidences. Après un instant de surprise, le visage de Rowan se referma. Pas de lueur menaçante ou courroucée dans son regard, il était simplement troublé et ne souhaitait pas le montrer. Tout cela le mettait mal à l'aise, pourtant, les mots franchirent ses lèvres.

« Ça m’a fait plaisir, avoua-t-il un peu prestement, avec maladresse. En général, il n’y a pas grand monde qui s’inquiète pour Rowan Mulciber. Alors, même si ça m’a gonflé parce que j’aime pas parler de ce qui ne va pas, c’était sympa de ta part d’être venue et d’être restée. »

Il marqua une pause à son tour et plongea un instant dans les yeux de la demoiselle. Il ne fallut qu'un regard échangé pour qu'il réalise que quelque chose ne tournait pas rond. Ce n'était pas dans leurs habitudes que de se confier ainsi. Même sous le coup de l'amusement ou des festivités, ni l'un ni l'autre n'était aussi... Sentimental et niais. Comprenant que s'il continuait de parler, il allait dire des choses bien trop intimes, Rowan réprima une grimace.

« … Et je crois que je vais me la fermer avant de dire d’autres conneries. »

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Lucius Malefoy** 26.03.24 8:50

Bal de la St Valentin

feat All

Le directeur vient finalement interrompre cette bataille de testostérones encore Fabian et toi, que tu ne considères à aucun moment. Même si aucun mot n'avait été échangé, ton regard était assez expressif le concernant. Dumbledore commence son discours, tu te tiens toujours auprès de Narcissa, ton bras autour de sa hanche, signe d'affection. Tu fais semblant d'écouter, acquiesçant aux propos du sorcier. Son discours sur l'amour et la bonté te faisait rouler des yeux. On a compris, penses-tu. Toi tu voulais seulement t'amuser. Alors que ce dernier ouvre officiellement le bal, tu te tournes vers ta cavalière, lui adressant un sourire chaleureux et Bienveillant et lui demandes en tendant ta main vers elle, "Mademoiselle Black, m'accorderiez vous cette première danse ?". La jeune femme accepte et vous voilà élancez sur la piste de danse. Tu plonges ton regard dans le sien. Vous aviez l'habitude, vous êtes formés à cela depuis votre plus jeune âge. Vos parents vous ont fait danser ensemble dès que vous étiez en âge de vous élancer sur une piste de danse. Ceci n'était finalement que des accoutumances. Tu souris à la serpentard avant de la faire tournoyer sur elle-même et de la rattraper en suivant. Il était clair que vous connaissiez les codes et que personne ici n'était capable de valser mieux que vous.

Alors que tu fixais la blonde, ton coeur se met à battre d'une manière étrange. Tu commences à avoir des bouffées de chaleur dans ton costume. Ton regard plongeait dans celui de Narcissa, tes pensées commençaient à s'emmêler. Tu appréciais sa compagnie ce soir, bien plus que d'habitude. Tu avais envie de la serrer dans tes bras mais différemment des autres fois. Ton instinct protecteur à son égard s'agrandi, ressentant ce besoin de l'avoir auprès de toi. Tes yeux fuient les siens, essayant d'évacuer ces images de ta tête, mais la Sang-Pur rattrape ton attention. Cette dernière te remercie de faire partie de sa vie depuis ces années et d'être là pour elle depuis tout ce temps. Tu lui souris. Mais la jeune Black continue son discours, assurant avoir une affection profonde pour toi. Un affection qu'elle aurait ignoré. Tu rates ton pas suivant, déstabilisé par les propos de la jeune femme. Et le coup de grâce te tombe dessus, voilà que Narcissa déclare que tu étais peut-être son évidence. Jamais tu n'aurais pensé que la verte imaginait ça de toi. Mais tu ne savais pas pourquoi, mais entendre cela, réchauffe l'intérieur de ton corps, faisant battre ton coeur bien plus vite, créant en toi un sentiment paisible et de satisfaction. Ton affection pour Cissa ce soir était bien différente des autres soirs. Tu l'imaginais bien être bien plus que ton amie, bien plus que ta meilleure amie. Et cette image de fiançailles te rendait heureux. Alors que tu plonges ton regard dans celle qui est censée devenir ta femme un jour, tu réponds, "On se connait depuis toujours... Bon nombre de personnes imaginent que nous sommes bien plus que des amis...", tu mets un temps d'arrêt, avant de reprendre "Peut-être ont-ils raison et que nous nous voilons la face depuis temps d'années...". Tu réalisais ce que tu venais de dire, tes yeux deviennent ronds un instant, mais tu ne pouvais pas montrer que tu étais déstabilisé à Cissa. Pas toi. Rien ne pouvait perturber. Si ce n'est la blonde que tu tenais proche de toi à cet instant. Tu tentes de fuir du regard à nouveau, ton regard croisant celui de l'audacieuse Ailys. Un sentiment de jalousie te monte à la gorge lorsque tu la vois rire avec Mulciber. Tu avais envie de l'accaparer, de danser avec elle et de faire voler sa robe, de la prendre elle aussi dans tes bras et de l'embrasser. Puis, ton regard se reconcentre à nouveau sur ta cavalière, elle était belle elle aussi, elle était intelligente, dure, droite et fidèle. "Tu es la femme idéale", balances tu à haute voix avant même de pouvoir contenir tes paroles. Toi qui d'habitude était une tombe, ce soir, tu déballais le chamboulement qui pouvait te trotter dans l'esprit.

----------
Résumé : Lucius danse avec @Narcissa Black, il est perturbé par les propos de la verte mais aussi par l'artéfact qui chamboule les sentiments de Lucius. Il est aussi déstabilisé lorsqu'il croise @Ailys B. Avery pour qui il a secrètement de l'affection également

La tenue de Lucius : ici

@made by ice and fire.

par **Thomas D. Maxwell** 26.03.24 9:21

Dale a tu cuerpo alegría Macarena
Que tu cuerpo es pa' darle alegría y cosa buena

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Leurs regards se croisèrent, leurs voix se mélèrent et ils éclatèrent de rire. Il n'y avait qu'eux pour s'inviter à danser en même temps ! Ce constat fit sourire Thomas qui prit la main de Rose. Elle l'entraîna sur la piste de danse. Il l'entraîna sur la piste de danse. Et savoir qui prenait l'initiative n'avait pas d'importance, tant qu'ils le faisaient ensemble. Il tâcha d'ignorer ce regard vers Narcissa. Qu'elle était belle pourtant ! Son visage s'illumina d'un sourire en la voyant et il espéra en secret qu'elle croise son regard et qu'ils s'échangent un sourire.

Les mains de Rose sur ses épaules le ramenèrent à la raison, et vers elle. Il hésita un instant et posa finalement ses mains sur la taille de la jeune fille, pour une danse bien moins ridicule que celle avec Lily. Moins sportive, aussi, ce qui leur permettait de parler. Enfin, qui permettait à Rose de parler. Le visage de Thomas s'empourpra au fil de ses paroles. Quoi ? Qu'est-ce qu'elle lui disait ? Il y avait trop d'infos d'un coup et la seule remarque cohérente qu'il pensa à lui faire fut que Snow et Ygritte finissaient très mal. Surtout Ygritte.

Mais il n'eut même pas l'occasion de lancer un nouveau débat sur cette série qu'ils appréciaient tous les deux. Rose l'embrassa au coin des lèvres.

Leur danse n'exigeait pas beaucoup de talent, pourtant, Thomas s'emmêla les pinceaux et écrasa le pied de Rose. Le contrecoup de ce nouveau baiser, très certainement.

« Ah ! Oh ! Pardon ! » Il releva les yeux vers elle en bafouillant. « Je suis vraiment un boulet, c'est pas possible ! Et pour tout ! Genre là, moi aussi je voulais t'inviter à danser, mais te demander d'être ma cavalière, c'était trop…. Trop, tu vois ? Trop officiel, trop de pression, trop de questions sans réponses. Et en même temps, je me rend compte que c'était très con de ma part et je suis vachement chanceux que tu m'aies pas envoyé balader. »

Le moulin à paroles étant lancé, impossible de l'arrêter en si bon chemin. Thomas était d'une nature bavarde, mais cette fois-ci, sans aucune raison apparente, c'était ses propres sentiments qu'il voulait exposer.

« Moi aussi, je t'aime, avoua-t-il finalement, mettant des mots sur ce qu'ils n'arrivaient pas à se dire. Mais je ne sais pas comment je t’aime. Tout ce dont je suis certain, c'est que tu as une place très importante quand mon cœur... Et c’est peut-être ça qu’on doit retenir. »

Parce que c'est plus simple. Il eut un sourire timide alors que son regard quittait le joli minois de Rose pour regarder les paillettes de sa robe brillant sous la lumière. Il ne pensait pas lui dire les choses ainsi, mais à présent que la Serdaigle abordait le sujet, il ne pouvait pas faire demi tour.

« Je suis aussi paumé que toi. Je ne nous vois pas main dans la main à nous faire des bisous, ce serait trop bizarre ! T'es ma meilleure pote, t'es ma rivale et ma confidente, te qualifier comme étant mon amoureuse… Ça me fait peur. Je... Je sais pas comment on fait, je sais pas si c'est une bonne idée… J’ai pas envie de tout gâcher parce que notre relation elle est déjà parfaite à mes yeux. Moi, je pense à toi et je me dis qu’il y a aussi Scorpius, et ce que je souhaite, en fait, c’est juste que tu sois heureuse et épanouie. Et je me dit que je saurais peut-être pas te donner assez d’amour pour te faire sourire tous les jours... »

Il étouffa un rire. Même en exprimant ses craintes, il y avait toujours cette drôle de chose logée dans son estomac qui le remplissait de joie et de sérénité. Comme si ça le soulageait d'un poids que d'avouer tout ça.

« Et je parle, et je parle, je m’arrête jamais, c’est terrible ! Et je me rends compte, qu’au final, c’est pas moi qui suis véritablement important dans l’histoire. Ce qui compte, c’est toi. »

Il ne dansait plus, bien incapable de faire deux choses à la fois. Et à présent son monologue achevé, il posa simplement son regard dans celui de Rose.

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Sirius Black** 26.03.24 10:23

J’ai tout appris dans les livres. Mais il y a des choses beaucoup plus importantes, le courage, l’amitié…

Hogwarts U.

B

al de la
Saint-Valentin

Sirius ne comprenait rien à ce qu’il se passait, ne faisait pas l’effort non plus, des personnes arrivaient qu’il saluait avec un sourire, dont une serpentarde étrange qui se mêlait à eux. « Ouais Sirius c’est ça. Enchantée Skye. » il était sociable le gryffon, il avait même pris un verre sur la table qu’il tendait à la verte. Il n’écoutait pas forcément plus la conversation, trop occupés à regarder autour de lui. Il voulait trouver une potentielle fille à danser, à séduire à finir la soirée pourquoi pas. Adonis était arrivé, il ne pouvait s’empêcher de regarder Remus mi amusé mi moqueur, mais il s’abstenait de tout commentaire douteux. Mettre mal à l’aise les gens était sa spécialité, mais ses bro, non, il fallait oublier. Il voyait justement James toujours en conversation avec la serpentarde, il apercevait son visage et semblait être sérieux, conversation sérieuse en somme. Il ne s’en formalisait pas, ils en parleront plus tard si James aura envie d’aborder le sujet. Il prenait une gorgée de son jus infect et sans artifice. Il y avait eu la chute d’un gars, il ne pouvait s’empêcher de rire contre son gobelet, c’était une chute vraiment ridicule mais heureusement pour ce pauvre gars, il y avait la main tendue d’Elorah, le Nott à côté ne semblait pas franchement être dans son élément et avait même envie de prendre ses jambes à son cou, pauvre gars. Situation grotesque que Sirius ne pouvait s’empêcher de se moquer.

Un drôle de gars avait fait irruption dans la salle dans un déguisement des plus ridiculus, il balançait des flèches à tout va comme si les élèves étaient des cibles potentielles. Ils en avaient reçu un certain nombre, il se secouait dans tous les sens tel le sol cogneur du parc. Trop étrange. Le discours du vieux papy fou avait jeté un silence respectueux, la fin du monologue du vieux, Peeves faisait irruption fou rire sonore encombrant la salle. Sirius ne pouvait s’empêcher de rire à son tour, mais son sourire se transformait en grimace, qu’est-ce que c’était cette sensation de picotement et de frissons dans sa peau. Il avait tourné la tête et le groupe avait diminué. A quel moment ils étaient partis tous ? Sirius prenait un verre sur la table espérant y trouver un soupçon d’alcool mais il n’y avait rien que du jus de citrouille sucré sans artifice. Un frisson parcourait son corps, la salle avait sombré dans une ambiance qui lui retournait l’estomac. Des couples se mettaient à se former, se déclarer, s’embrasser, s’enlacer, bientôt il allait en retrouver allonger à faire leurs affaires…c’était presque le cas pour certains. Il voyait remus partir avec Adonis, Sirius souriait contre son gobelet, ils n'allaient pas faire une danse sur la piste eux ou en tout cas pas habiller. Sirius Ricanait, Leia, elle ne comprenait pas ce qu'il se passait. Mais Sirius n'avait pas eu le temps de lui éclairer sa lanterne, Lily venait lui parler.

Tu sais Sirius, je te trouve pas si chiant, finalement. T'es même plutôt agréable à côtoyer

Mais qu’est-ce qu’il lui arrivait à celle-là ? Il avait envie de lui poser la main sur son front pour prendre la température mais il s’abstenait à ses phrases plus étranges les unes que les autres.

J'ai fait la con avec James, je le sais. Y en a d'autres qui se sont rendu compte que c'était un mec super avant que je le fasse.

Sirius suivait son regard, son verre tombait sur le sol se surprise. Son frère Regulus était sur la piste…avec James mais ça ne tourne pas rond ici ? « Mais par la barbe d’hagrid, nom d’un hibou sans plume, de Dumby sans sa robe, c’est quoi ce bordel ?! » Lily continuait de lui parler, elle voulait qu’ils soient plus proches, mais sa voix résonnait en écho, il écoutait à moitié. Il ne comprenait toujours pas ce que faisait James, mais Sirius ouvrait sa bouche sans en maîtriser son contenue. « Tu veux qu’on soit plus proches, ça ne me dérange pas, tu es jolie et tu es drôle malgré toi, quand tu ne veux pas être madamejesaistout, on peut gratter ensemble si tu veux et voir nos points communs ? »

Sirius lui souriait le plus sincèrement du monde comme un véritable idiot dans un monde lointain. Il regrettait instantanément ce qu’il venait de dire, en plus les rousses ce n’était pas sa came et à part Marls il n’avait pas de pote fille. Mais pas le temps d’en dire plus, Mary arrivait dans son champ de vision. Il avait la sensation que ses muscles étaient devenus des élastiques, il était détendu comme s’il avait fumé de la mandragore séchée. La brunette murmurait quelque chose à l’oreille de lily, une scène sexy que Sirius ne pouvait s’empêcher d’imaginer sans vêtements. Il en oubliait son frère avec son frère de cœur. Mary avait changé de cible et le complimentait lui. Qui d’autres de toute façon. Il remettait en place sa veste en cuir. « Si tu es sage, tu auras le droit de toucher. Tu es pas mal non plus dans ton genre. » Alerte il venait de complimenter la fille qu’il voulait à tout prix oublier jusqu’à son existence même. Mais il ne pouvait s’en empêcher. Elle avait pris un verre. Et lui approchait Lily, puis Mary près de lui. « Deux jolies filles près de moi. Oui Lily, je te trouve jolie, ça me brûle la langue de l’admettre mais oui. Même toi tu l’es, puis toi aussi. » Il venait de faire un compliment à une serpentarde, la fameuse Skye. Il n'oubliait pas Leia. C’est quoi la prochaine étape ? Le plafond allait s’effondrer sur eux ? Achevez le.

résumé : Sirius se fiche royalement des conv autour de lui, il salut néanmoins les nouvelles arrivantes. @Lily Evans venait lui parler, de se livrer. Il voit @James Potter et @Regulus Black danser ensembles, mais il les oublies presque pour parler à lily et @Mary Macdonald il complimente @Leia Hawkins et @Skye M. Fraser .

La tenue de sirius Il a une chemise blanche ouverte et un pantalon de costume noir.

MADE BY @ICE AND FIRE - Image by buzzfeed

par **Wynter Lufkin** 26.03.24 11:43

/h4>

TC Bal de la Saint-Valentin Feat Event & @Albus P. Carter

Le bal de la Saint-Valentin avait été organisé suite aux événements à Pré-au-lard, je n’étais plus très rassurée de me rendre là-bas, alors que c’était un des endroits que je préférais à Poudlard… mais les choses semblait s’être calmé visiblement, j’allais pouvoir y retourner sans avoir peur. Mais pour l’heure, je devais finir de me préparer pour le bal… moi qui pensais que j’irais seule, j’avais été très surprise d’être invitée par un garçon… mais ce garçon, c'était Albus… depuis notre rencontre dans la grande salle, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à lui, de tout faire pour le voir… Il avait ce petit quelque chose qui me fascinée, qui me donnait l’impression d’être exceptionnelle… Je me sentais très maladroite avec lui, mais en même temps, je n’avais pas peur d’être moi-même… et cela se voyait dès qu’il était dans les parages, mes cheveux prenaient directement une teinte rose… Et c’était encore le cas avant même de le voir ce soir… J’essaie de me concentrer pour que mes cheveux restent blonds comme les blés, mais c’était mission impossible tellement j’avais hâte de voir Albus.

À cause de cela, j’étais en retard… j’avais en plus eu du mal à fermer ma robe toute seule… une robe qui avait appartenu à ma mère et qui était donc un peu vieille, mais avec ma belle-mère, hors de question de demander de l’argent à mon père pour en acheter une nouvelle, j’avais donc rapiécé celle-là du mieux que j’avais pu après qu’Albus met demandé de l’accompagner au bal… en temps normal, j'aurais esquivé cet évènement comme les autres bals… mais là, j'avais un cavalier…

Je finis par sortir de mon dortoir et je monte les escaliers pour rejoindre la grande salle. Tout le monde était déjà à l’intérieur et j’entendais déjà la musique signe qu’il était plus de 21h et donc que j’étais très en retard… j’avais peur d’avoir raté Albus, qu’il pense que je lui avais posé un lapin. Je finis par rentrer dans la grande salle et quand je le vis après quelques minutes de recherché, je souris comme jamais avant. Je me précipite vers lui, un sourire scotché aux lèvres.

- Albus, pardonne-moi… J’ai eu du mal à fermer ma robe… et à finir de l’ajuster à ma taille… Tu es vraiment très beau ce soir… non pas que tu ne l’aies pas d’habitude, mais… enfin, tu vois quoi…

Je me mets à rougir… qu’est-ce qui m’arrive… ce n’est pas mon genre de dire les choses aussi franchement. Je finis par remarquer un autre jeune homme près de lui, je rougis encore plus et je le regarde en clignant des yeux, je me sens si honteuse.

- Oh pardon... je ne voulais pas vous déranger...

Tenue de Bal de Wynter:

KoalaVolant

par **Héra M. Parkinson** 26.03.24 14:27

Trop de choses se passent devant mes yeux. Et à peine ai-je le temps de dire non que Fabian m’emmène vers mes deux meilleurs amis. Oh non, non, non. Je connaissais le point de vue de Lucius sur ce genre de relations intermaisons. Et cela ne manqua pas. Outre le compliment à Cissy, les deux hommes sont à deux doigts de se mordre. J’avais eu vent des disputes aux serres par le roux lui-même. Certes, je n’avais pas tellement aimé les remarques de mon ancien amant, mais la fougue du nouveau m’avait partiellement mis en garde sur son sang-chaud. Je levais le regard sur ma meilleure amie après une rapide accolade où je lui chuchotais un « et toi donc ». Lucius embrasse ma joue et je serre ses mains, pour le remercier. Narcissa enchaine en questionnant Fabian et je ne peux m’empêcher de rire.

Mais bientôt la voix du directeur nous interrompt. Discours trop romanesque et romantique. Le couple adverse s’en va, tandis que je leur envoie un baiser.

- Allons danser mon coeur, dis-je avec un sourire.

Je le tire sur la piste, passant mes bras autour de la nuque du roux. Comme je vais regretter ce que je m’apprête à faire. Comme il va me manquer. J’ai envie de lui dire tout ce que je ressens pour que jamais il n’oublie que je l’aime. Oui, parce que je l’aime comme je ne pourrais aimer aucun autre. D’un geste tendre, je caresse sa joue, ses yeux dans les miens.

-Fabian…Je ne regrette absolument pas ce soir de nouvel an, même si je devrais. Je ne regrette pas de m’être lié à toi, car je sais que tu es celui qu’il me faut. Ta soeur avait raison depuis que nous sommes enfants. Rien ne pourra jamais vraiment nous séparer. Tu es mon évidence.

Je sens une larme couler sur ma joue, même si un beau sourire s’affirme sur mes lèvres en embrassant l’homme de mes rêves. Je finis par me coller contre son torse un instant dans un calin sincère. Pourquoi je devenais si romantique? Je n’avais pas bu d’alcool, si?

-Même si mon père tente de nous séparer de quelque manière que ce soit, je serai toujours à toi, n’en doute jamais. Je sais que ma famille veut que j’épouse Mulciber, mais je veux vivre une vie d’adolescente normale. Alors si jamais la vie venait à nous séparer, sache que tu as mon coeur à jamais.

Je ne veux pas le lâcher. Je ne veux pas laisser mon père diriger ma vie. Je veux m’enfuir. Profiter. Vivre ma vie d’adolescente.
 Et je veux le sentir contre ma peau indéfiniment.

résumé : Héra suit @Fabian Prewett vers @Narcissa Black et @Lucius Malefoy , et salue ses meilleurs amis avec douceur. Puis, interrompus par Dumby, elle finit par emmener son cavalier danser avant de lui faire une belle déclaration.

par **Elorah Lewis** 26.03.24 14:47

J’ai tout appris dans les livres. Mais il y a des choses beaucoup plus importantes, le courage, l’amitié…

Hogwarts U.

B

al de la
Saint-Valentin

Elle n’aimait pas les moqueries, les personnes seules, ce n’était en rien de la pitié, elle comprenait ce que ces personnes ressentaient pour faire partie de l’ombre. Elle ne pouvait s’empêcher de discuter même cinq minutes avec une personne dans un coin. On dit apprécier la solitude mais parfois un sourire peut illuminer une journée. Ce Serdaigle avait besoin d’une main tendue et c’est celle qu’Elorah lui avait donné. Elle n’avait pas prévu la réaction de Robin qui, lui avait tendu le verre, à lui ainsi qu’à elle avant de prendre congé. Seulement l’arrivée de sa meilleure amie la coupait dans son élan voulant le rattraper. Elle collait sa joue contre son double jaune et avait perdu des yeux le serpentard qui avait visiblement pris la mouche. Charity lui avait murmurait qu’elle allait chercher quelqu’un qui manquait à la soirée, pas la peine d’en dire plus, Elorah avait deviné de qui il s’agissait.

Le Serdaigle de nouveau sur pied, Charity partie et Robin absent, Elorah se retrouvait donc seule avec son camarade bleu pendant le discours de Dumbledore. Elle n’avait pas du tout fait attention au garçon étrange se baladant en costume qui l’était tout autant. Peevees avait décidé de faire un cadeau aux élèves. Elle se sentait soudainement si légère, ses paupières clignaient plusieurs fois comme si elle avait reçu des paillettes dans les yeux. Son cœur battait plus rapidement que la normale, elle se sentait étrangement sereine, calme, paisible comme libéré d’un poids qui la pesait étrangement dans son corps. Elle regardait son camarade serdaigle, grand sourire aux lèvres, finit son verre d’une traite, s’essuyait la bouche d’un revers de main le jetait par terre comme s’il était en verre et qu’il allait se casser et regardait autour d’elle « Quand faut y aller, faut y aller ! Nous ne sommes pas des tapettes a frange okey ? Nous ausis on peut être des personnes d'action ! » Elle regardait de nouveaux son nouvel ami à lunette pour se donner du courage et partait. Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle devait faire ni même qui elle cherchait. Même si au fond d’elle il y avait bien un nom qu’elle avait en tête. Elle ne savait pas la raison pour laquelle elle pensait à ce serpentard mais elle ne le voyait plus de toute façon. A la place, c’était un autre camarade qu’elle avait sur sa ligne de mire. Il dansait, semblait passer un bon moment mais c’était plus fort qu’elle, elle devait sortir ce qu’elle avait au fond d’elle.

Elle marchait de ses converses roses et d’un pas assuré. Traversait la foule, la piste d’une ligne droite imaginaire, avait presque bousculer James et son partenaire, la Narcissa et son Lucius, mais elle n’avait pas le temps de s’excuser. Elle enlaçait son ami des potions, celui qui souvent l’envoyer bouler sans raison mais qu’elle ne pouvait s’empêcher d’avoir pris en affection. « Rowie, tu es un grand idiot à bouclettes mais je t’aime bien d’accord ? Sous cette immense couche de glace se cache un cœur et une gentillesse. Je suis là si tu as besoin de parler. Je serais toujours là pour toi. » Elle caressait sa joue encore un peu avant de le laisser tranquille. « Je vous laisse à votre danse. » Elle allait quitter la piste mais elle le voyait, ici. Oui, il était là, avec Azadeh à danser, elle lui souriait, tournoyait. Ses hanches bougeaient au rythme de la musique sans s’en rendre compte.

Elle savait qu’elle avait fait une bêtise en enlaçant Rowan, il était aussi tactile qu’un savon imbibé d’eau mais elle devait sortir ce qu’elle avait sur le cœur. Et c’est justement ce qu’elle comptait faire avec Robin. Sa conscience hurlait, s’époumonait d’arrêter, de prendre un verre de jus et surtout de continuer à se faire petite. Mais elle était en train de danser presque en crabe pour se faufiler entre les couples qui avaient besoin pour beaucoup, d’une chambre à coucher. C’est en dansant qu’elle arrivait au nouveau de ce couple qu’elle refusait de voir en vrai. Son cœur lui dictait sa conduite, elle ne comprenait pas bien ce qu’il lui arrivait, elle ne contrôlait plus rien. Elle souriait à la belle serpentarde « Excuse moi je dois dire un truc à Robin et je te le rends d’accord ? » En réalité elle n’avait rien à lui dire, elle lui posait ses mains sur les joues de Nott et plaquait sa bouche sur les siennes. Elle avait définitivement perdue le contrôle. Elle le relâchait, souriait satisfaite, le ventre qui explosait, son cœur qui tambourinait comme un orchestre et regardait de nouveau Azadeh. « Bien continuez à faire euh tout ça. » Elle balayait l’air de ses mains et tentait de repartir l’air de rien en dansant avec les bras en vague. Elle était sur et certaine de n’avoir ni bu ni pris une substance.

résumé : Elo reste avec @Lazarus Lawson dans un premier temps, puis sous l'effet de l'artefact déclare à @Rowan A. Mulciber qu'elle l'aime bien. Trouve @Robin Nott qui danse avec @Azadeh Gaunt (qu'elle trouve trop belle) et l'embrasse à pleine bouche avant de repartir en dansant l'air de rien comme si tout était normal ce qu'il venait de se passer.

La tenue d'Elo avec coiffure et maquillage, Chaussures, boucle d'oreilles

MADE BY @ICE AND FIRE - Image by buzzfeed

par **Fabian Prewett** 26.03.24 15:47

Bal de la Saint-Valentin

FEAT @Héra M. Parkinson & les autres

J'ai à peine le temps de sourire à Narcissa, alors qu'elle me demande si je suis prêt à faire danser ma cavalière, que les choses s'enchaînent. Une jeune entre et je me retiens de rire alors qu'il envoie des flèches d'amour sur plusieurs autres élèves. Un autre tombe dans un vacarme assourdissant. Le Directeur prend la parole et nous propose un discours rafraîchissant. Enfin, à en juger par les expressions de ceux qui m'entourent, je suis le seul à le trouver particulièrement vrai et intéressant. Ca m'étonne pas va, venant des Serpentard, d'avoir un air blasé quand on parle de la capacité de l'amour à rapprocher les gens.

Regardez-moi, là, je suis à quoi, un mètre et demi de Malefoy, et je suis sympa. Je suis courtois. Bon, j'ai pris son existence en compte, c'est déjà pas mal. J'applaudis le discours, avec quelques autres, et la musique commence. Sans attendre, le couple le plus hautain des Serpent s'élance sur la piste, et je tends la main vers Héra pour l'emmener à leur suite. Mais elle m'a devancé, et c'est elle qui me tire au milieu des autres. Apparemment, c'est comme ça que va fonctionner notre couple. C'est pas pour me déplaire.

Tout comme Malefoy et Cissy, j'ai été entraîné à ces événements. Mais je n'ai encore jamais dansé avec quelqu'un qui fasse battre mon cœur comme le fait ma partenaire. La chaleur de ses doigts sur ma nuque fait dresser mes cheveux. J'enroule mes bras au creux de ses lombaires, et pose mes yeux dans les siens. C'est comme si rien n'existait autour de nous. Pas d'autres couples, pas de musique mis à part celle que j'entends à chaque fois que je la regarde.

Ses doigts sur ma joue me font frissonner alors que je la fais tourner au milieu des autres. J'écoute avec attention ses paroles avant d'essuyer du pouce la larme qui roule sur sa joue avant de recevoir son baiser sans rechigner. Lorsqu'elle s'appuie sur moi, je resserre mon étreinte autour de son corps, dans une tentative de la rassurer. Je ne sais pas de quoi, mais c'est mon rôle, non ?

Je n'ai pas le temps de prendre la parole, de lui dire que je serai là, toujours, comme un pilier. Je n'ai pas le temps de lui dire que je n'ai jamais ressenti ce que je ressens quand je suis avec elle, et particulièrement aujourd'hui. Je n'ai pas le temps de lui dire que je la protègerai, de ma vie s'il le fallait. Non, elle continue de parler, et je continue de l'écouter.

Je me demande bien ce qui lui prend. Pourquoi ce soir. Pourquoi me parler de celui que ses parents veulent pour elle.

Est-ce qu'on peut pas profiter de maintenant ?

Je pose mon menton sur le haut de sa tête, tout en continuant de la faire danser. Au loin j'entends bien que la musique a changé, et que nos mouvements ne se prêtent plus du tout au rythme, mais je m'en fous.

Je peux pas arrêter de penser à toi. Je dois me concentrer pour ne pas laisser mon esprit divaguer quand je suis en cours ou que j'étudie. J'entends de la musique quand je te regarde. Je souris quand je te vois à l'autre bout du couloir. Tu me rends complètement fou. Tu es la dernière chose à laquelle je pense le soir et la première le matin.

Okay, c'était peut-être un peu oppressif. Mais ça va mieux, bien mieux. Je reste contre elle, et je me rends compte que j'ai pas fini de parler. Pas fini de lui dire les choses. Et je sais pas pourquoi j'ai tant envie de lui dire tout ça. Pas besoin, c'est dur de mettre des mots sur les choses, et de les faire passer à l'autre. Mais tant pis, maintenant je suis lancé et je sais pas m'arrêter.

Ton père peut bien dire ce qu'il veut. L'an prochain tu es majeure. Il peut pas me contrôler, il peut pas m'empêcher de t'aimer et de te désirer. Il peut pas m'éviter de m'imaginer fonder une famille à tes côtés.

Et qu'il vienne. J'ai pas peur d'un homme qui a passé sa vie à dessiner des robes.

KoalaVolant

Résumé et tenue de Fabian:

par **Alma Delgado** 26.03.24 15:51

Car c'était le jour de la Saint-Valentin, le jour où chaque oiseau vient choisir son partenaire

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

De l’alcool dans son jus de citrouille ? Mais pour qui la prenait-t-elle ? C’est vrai qu’elle en aurait été capable, une petite goutte ou deux ou trois même histoire de rehausser le goût n’allait faire de mal à personne n’est-ce pas ? Mais non, ce soir elle allait s’abstenir de tout écart de conduite. Elle voulait se montrer exemplaire auprès de Clément, lui montrer qu’elle pouvait être sérieuse dans sa vie, dans ses sentiments également. « Je savoure ce breuvage infect sans alcool dedans, je peux me tenir quand je le veux tu sais ? » Elle lui souriait, sourcil haussé, amusé par sa question. Elle observait les groupes se former l’air de rien, elle ne savait pas comment allait se dérouler la soirée, est-ce qu’ils allaient y rester jusqu’à la fin ? Est-ce qu’elle allait pouvoir lui parler un peu avant de devoir le quitter pendant quelques temps ? L’idée même d’être à des milliers de kilomètres d’ici lui procurait une tristesse immense.

Parler du bal durant leur jeunesse lui donnait l’envie d’y replonger pour changer bien des choses. Elle n’aurait pas été au bal avec Will. Elle aurait pris son courage entre ses deux mains et serait aller le voir lui pour l’inviter. Tout aurait été différent, elle aurait été plus forte elle en était sûr, elle aurait affronté sa famille et aurait refusé ce mariage aussi triste et insipide que la pluie. Elle est certaine qu’il lui aurait donné le courage nécessaire pour échapper à la vie qu’elle a mené sans amour ni joie. Elle avait compris qu’à ses côtés, elle pouvait tout affronter, tout combattre. Elle n’avait jamais ressenti pareil sentiment avant. Elle allait lui répondre mais le discours du directeur pour l’ouverture du bal venait de commencer. Les applaudissements, les cris allaient bon train mais vite interrompus par Peeves et son rire sonore qui laissait un étrange objet sur une des poutres.

D’un geste, Alma sortait sa baguette pour subtiliser l’objet mais comme transporter dans un tout autre élan, elle baissait doucement la main en fronçant les sourcils. Elle ne se souvenait plus ce qu’elle allait faire deux secondes auparavant. Elle rangeait sa baguette et se retournait vers l’homme qui occupait ses pensées et son cœur depuis des mois, non des années. Elle avait jusqu’alors enfouie tout ça, avait dû tout mettre dans une boîte et l’enfermer lorsqu’elle avait accepté son mariage. Mais ce soir, plus rien n’avait d’importance. Elle était libre, pas de mariage mais de corps et surtout de cœur. Elle était libre d’aimer qui elle voulait.

Elle entourait la nuque de Clément de ses bras et collait son bassin contre le sien. « Arrêtons de tourner autour du pot. Nous avons passés l’âge. Nous n’avons plus le temps. » Elle marquait une pause, se plongeait dans son regard azur. « On se plaît depuis Poudlard, tu me plaisais énormément. J’avais peur de te le dire. J’avais aussi peur de te faire souffrir si je me déclarais. C’est paradoxal, j’avais autant la sensation que je pouvais tout traverser à tes côtés que de t’attirer des ennuis si tu étais avec moi. » Elle retirait ses mains pour lui enlacer sa main et l’entrainer sur la piste un peu à l’écart, un peu plus vers la pénombre. Plus rien ne comptait. De nouveau elle collait son bassin contre le sien, emprisonnait sa nuque de ses bras. « Je ne veux plus te quitter Clément, on n’a laissé passer trop d’années. » Elle avait les larmes aux yeux, ses mots résonnent comme un adieu alors qu’elle se livre comme jamais elle ne l’avait fait auparavant. Car c’était la première fois qu’elle pouvait se permettre d’aimer enfin. Était-elle cruelle de vouloir être avec lui ce soir alors que demain elle devait se séparer de lui pour une durée interminée ? Est-ce qu’il allait lui en vouloir d’ouvrir quelque chose de possible entres eux pour ne plus se croiser durant des mois ?

Rien que ce soir, c’était elle et lui et personne d’autres. Elle le voulait, il avait saisit son cœur, elle le lui offrait sur plateau d’argent, pour ne jamais le reprendre.

____
La tenue d'Alma (ici)

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Severus Snape** 26.03.24 16:53

(Salle de bal - Poudlard - 14/02/1977)

Il laissa Burbage de rajuster sa cravate, elle complimenta son costume, il ne dit rien du fait qu'il détestait ce costume. Elle lui attrapa le bras, et avant quelques secondes d'hésitation il entra dans la salle de bal. Son visage se ferme instantanément, trop de bruit, trop de musique, trop d'agitation, il prit sur lui pour ne laisser rien apparaître.

« Je ne sais danser que la valse. »

Vous le voyez, vous, à bouger le bassin et agiter les bras ? Sa mère oui, elle adorait danser le twist et le boogie woogie. La valse avait quelque chose de plus gracieux et de doux. Il évita soigneusement de regarder aux alentours, de croiser des regards, il avait honte dans son costume ringard et vieillot. Il avait honte de sa condition de moitié-moldu. Il avait honte qu'il ressentait une allégresse qui lui était, alors, étranger. Il ne fixe que la poufsouffle, dans son regard qui se fit intense, il lui lâcha quelques mots.

« Je t'aime. » Il leva un sourcil, confus par ses propos sortis de nul part, il se devait être plus précis. « Comme Elorah, comme une soeur. Le genre de soeur irritante qu'on n'essaye de repousser mais qui revient à la charge. » Pourquoi, là toute suite, maintenant ? Il ne le savait pas. Et ça va beaucoup l'agacer.

Pitié, la danse et il se casse.

--------

Il ne vous calcule pas, son amour pour l'humanité a été inhibé par l'indifférence 2944463865

Coupe + Le costume du géniteur

par **Clement Trinder** 26.03.24 20:26

Car c'était le jour de la Saint-Valentin, le jour où chaque oiseau vient choisir son partenaire

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Sa question reste sans réponse. Tant pis, il la questionnera une autre fois, quitte à l'inviter à dîner pour se livrer à un nouveau jeu de questions/réponses. Le discours du directeur les interrompt, mais Clement ne prend pas vraiment la peine de l'écouter ; son esprit est ailleurs. Au lieu de l'inviter, et si c'était lui qui cuisinait ? Alma ne pourrait pas refuser. Et il est certain que cela lui plairait. Intérieurement, cela le fait sourire. Le rire de Peeves le tire de ses pensées et il lève les yeux vers le plafond où l'esprit frappeur s'est réfugié. Le fantôme le terrifiait, enfant, il en faisait des cauchemars et à présent qu'il est adulte, Clement ne peut que se méfier. Il note le geste de sa collègue et la surveille du coin de l'oeil. Il ne comprend pas pourquoi elle s'empare de sa baguette et souhaite l'interroger à ce propos... Mais visiblement, ce n'est pas important. Comment cela pourrait-il l'être alors qu'Alma se glisse tout près de lui et l'enlace ?

Il rougit comme un gosse et ne trouve rien à dire. Maladroit et embarrassé, il n'ose même pas lui rendre son étreinte. La proximité avec Alma, ses mains derrière sa nuque, son corps contre le sien, tout est irréel et, pourtant, ce n'est pas son esprit qui lui joue un mauvais tour. Il y songe, pourtant, tout est trop parfait pour que ça ne soit pas autre chose qu'une mauvaise blague. Est-ce le destin farceur qui se joue encore de lui et de ses sentiments ? Ou est-il simplement trop bête et naïf ? Oh, peu importe. Ce coup-ci, rien qu'un soir, il veut y croire.

Les vérités énoncées par Alma lui serrent le cœur et frappent juste. Ils avaient perdu leur temps. Cet ignoble constat le fait grimacer. Il avait gâché sa vie à s'enticher d'une autre. Combien d'années ? Il ne voulait pas compter. Faire une erreur est douloureux, réaliser s'être trompé est libérateur. Les faits sont là. Vingt ans plus tard, tout est clair. Comment a-t-il pu être aussi aveugle ? Aussi jolie soit-elle, May n'est pas l'élue de son cœur. Elle l'a fait vibrer, l'a bercé d'espérance et de douces rêveries, mais elle n'était pas et ne serait jamais la femme de sa vie.

Cette dernière, il l'avait juste en face de lui.

Il se laisse guider à l'écart, docile et pudique, le cœur battant à tout rompre dans sa poitrine. Il n'entend plus les rires des adolescents, ni l'insupportable musique. Juste la voix d'Alma qui le guide et qu'il suivrait jusqu'au bout du monde.

Quand elle le fait à nouveau prisonnier, il s’abandonne à son étreinte et glisse ses mains sur la taille de la jeune femme. Il n’ose pas toucher ses hanches, encore moins les empoigner avec passion, et il se contente d’effleurer le tissu écarlate de sa robe, de deviner la douceur de la peau dissimulée en dessous. Le cœur gonflé d’un sentiment de joie qu’il n’explique pas, il esquisse un sourire.

« Allons Alma, c’est toi qui est pessimiste, maintenant ? Nous avons toute la vie devant nous... » Il caresse sa joue du bout des doigts, troublé par les larmes qui font briller les yeux de sa chère et tendre. « Je veux bien perdre toutes les années qu’il me reste si tu les passes à mes côtés. »

Car vivre sans elle n'aurait pas de sens.

Il hésite. Sa main remonte et suit la courbe de sa joue, ses doigts se glissent dans les mèches brunes qui encadrent son visage et les placent derrière son oreille. Il se mordille la lèvre, ne souhaitant plus que goûter à celles d’Alma.

« Puis-je…? »

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Robin Nott** 26.03.24 21:36

La réponse d'@Azadeh Gaunt t'arracha un sourire. Non pas que tu souhaitais que le monde brule, et peut-être même que d'habitude ce genre de remarques t'aurait blessé eut égard à ta soeur jumelle et son destin tragique, mais le fond de son message te toucha simplement. Elle t'avait compris visiblement, entendu et tu n'en demandais pas réellement plus. Et qu'importe que l'on te juge pour ton don, qu'importe ce soir que les gens te déclament voué à un avenir sombre parce que tu parlais fourchelang... Ce soir, tu ne voulais ni entendre ni te concentrer sur un possible jugement. Sur une possible superstition. Tu voulais juste que la vert et argent comprenne que tu n'étais et ne serais jamais son ennemi. Le destin vous avez réuni, et tu restais une personne d'honneur.

Alors qu'elle te tendait sa main en invitation, tu la saisissais, répondant une nouvelle fois dans la langue des serpents Avec plaisir. tout en l'accompagnant ensuite sur la piste. Pourtant, quelque chose clochait. Ta cavalière improvisée du moment semblait étrangement joyeuse, radieuse. Et loin de te déplaire, tu devais reconnaitre en ton fort intérieur que ce sourire qu'elle affichait, cette gaieté lui allait bien mieux que ce collier qu'elle portait. Tu la voyais tourner, profiter, et n'eut pas même le temps de l'arrêter alors qu'elle bouscula une élève de Gryffondor. Et là encore, son attitude aurait du te mettre la puce à l'oreille, te faire comprendre que quelque chose n'était pas ordinaire.

« Excuse moi je dois dire un truc à Robin et je te le rends d’accord ? » Une voix qui vient te voler, mais avais-tu réellement le choix tandis qu'@Elorah Lewis t'attirait un instant à elle. Elorah, cette fille aussi insupportable qu'attachante, cette pour laquelle tu aurais envie de... Mais tout d'un coup, tout se cour-circuita dans ta tête, ton esprit, ton corps. Tandis que tes lèvres rencontraient les siennes, une réaction normale aurait du être de gentiment la repousser car derrière toi, c'était celle que ta famille avait choisi. Dans la salle, il y avait son frère et le tien qui devaient tous deux trainer. Pourtant, tes mains qui trouvèrent instinctivement les hanches de la jeune poufsouffle ne la repoussèrent pas. Pas plus que tes lèvres ne protestèrent à cette marque d'affection aussi inattendue qu'appréciée.

Un instant, tu resta là, la regardant s'éloigner sans réellement comprendre encore ce qu'il venait de se passer, définitivement coupé de la réalité. Mais c'était réellement trop. Trop pour toi. Excuse moi Azadeh, je... j'ai besoin d'un verre. Pourquoi il n'y avait pas d'alcool ici ? Fichu Dumbledore.

Résumé:

par **Peter Pettigrow** 26.03.24 22:39

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

Peter était absent une bonne partie du bal, pourquoi ? Il devait profiter de l'absence des élèves et des professeurs pour rentrer dans le bureau de Dumbledore pour mettre à jour la carte, il n'y était pas resté longtemps, mais il a pu explorer d'autres parties du château, comme les combles et la toiture pour échapper à son pire ennemi de l'année : Pluto, le chat de Mulciber. Cette bête sortie des entrailles de l'enfer avait été mise au monde pour le tourmenter, il n'était pas très aisé à s'échapper, mais il y réussit in extremis. Comme tous les soirs, il faisait sa ronde dans le château après avoir revenu bredouille de conquête de femelle inassouvie, et heureusement pour Peter, il pouvait reprendre sa forme humaine dans le couloir désert sous le regard stupéfait et choqué de Plutô qui s'enfuit pour sa vie.

L'adolescent regarda sa montre : en retard. Les autres sont déjà en train d'enflammer le dance floor sans lui. De toute façon, il n'y a personne qui l'attend, et il n'a invité aucune cavalière pour la soirée, bien trop couard pour cela. Il avait accompli sa mission avec brio, il avait hâte de tout raconter à ses meilleurs amis, ô combien il a été efficace ce soir en sacrifiant une partie de la soirée pour finaliser la carte des Maraudeurs. Peter remonta dans son dortoir pour se préparer, se faire beau, se coiffer à la James, mais ayant des cheveux trop fins, il était obligé de se rabattre sa coupe de cheveux de tous les jours. Une fois qui s'est fait beau, il se pressa pour se rendre au bal. Bien sûr, tout le monde était déjà en petits groupes, il se voyait mal s'incruster, direction le buffet pour juger les petits fours digne d'un critique culinaire. Sa petite assiette et son gobelet de jus de fruit, il s'isola pour regarder ce beau petit monde. Quelque chose se produit, il se sentit totalement bien, comme ci toute anxiété l'avait quitté, rempli de reconnaissance, il avait envie de dire merci à tout le monde et prendre soin d'eux. Il ressentait un ineffable bonheur du moment présent.

Dommage, James avait l'air bien occupé avec Regulus, étrange, mais c'est James, que voulez-vous ? Un type comme lui, en rencontre une fois dans sa vie ! Il ne sait pas comment et pourquoi James l'a accepté dans son groupe, il se sent tellement en sécurité, il sent que rien ne peut leur arriver. James est pour Peter, un roc, un bouclier qu'il n'aura pas honte de se cacher derrière et combien de fois l'a-t-il défendu contre Mulciber et Snape ? Trop pour que ça se compte dans les doigts des deux mains. Qu'est-ce-qu'il aimerait se lever pour aller le rejoindre et lui dire merci pour tout, merci de l'avoir accepté dans son groupe, merci d'être son ami alors que lui, il se sentait si insignifiant (il se sent toujours ainsi, sauf ce soir).

Alors son regard cherche Sirius. Peut-être que lui saura entendre ses compliments et faire de longs prolixe sur sa reconnaissance. Il le vit, lui aussi occupé avec tout un troupeau de fille à faire son beau gosse, le charmeur professionnel. Qu'est-ce-qu'il aimerait avoir son assurance, avoir la tchatche facile et ce n'était pas humain d'avoir de dents aussi blanches que la neige en elle-même. Peter se sentait également chanceux qu'un type aussi cool et classe comme Sirius sont devenus amis, combien de fois, il a évité à Sirius des erreurs de colle en négociant un peu ? Il le ferait tout le temps !

Il chercha du regard Remus, en vain. Où était-il ? Pourtant, ce n'était pas la pleine lune ce soir. Il n'a pas eu le temps de s'inquiétait que ses yeux bleus se posèrent sur Thomas, avec ses autres amis du village. Il n'avait pas vraiment d'avis sur lui, même, il s'en méfiait. Il en avait un peu pleuré et broyé du noir, pensant à tort qu'on allait le remplacer par la joie incarnée qu'est Thomas. Ils auront raison, d'ailleurs, il estime de ne pas être à la hauteur, toujours en train d'essayer de faire ses preuves alors que Thomas n'avait juste à être... lui-même. Oui. On aime tous Thomas parce qu'il est lui-même, toutes les qualités que Peter ne possèdera jamais et on semble lui pardonner facilement toutes ses gaffes. La jalousie que Peter eut sur le moment s'envola aussitôt, ce soir, il ne fera grandement apprécier ses qualités et sa personne.

Fini de broyer du noir ! Il est temps de montrer au monde comment Peter Pettigrow, alias Queudver, alias Ratatouille, s'ambiance dans le dancefloor. Heureux d'être en vie, heureux d'être là !

-----------

Peter vous admire tous, certaines personnes que d'autres ! Il danse avec l'aide de ses connaissances sur dancefloor

Sa tenue + les lunettes de soleil inclus

(code) awona (icons) ethereal // avec @Nom du Partenaire

par **Alma Delgado** 26.03.24 23:10

Car c'était le jour de la Saint-Valentin, le jour où chaque oiseau vient choisir son partenaire

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Ses mains s’étaient posées sur sa taille et un frisson la parcourait. Sa peau se réchauffait. Sa réponse bien que magnifique, empoigne son cœur jusqu’à le saigner de l’intérieur. Les prochains mois allaient être incertains pour elle. Elle allait mettre les talons dans un terrain inconnu, hostile, obscur et embrumé. Qui sait si elle allait revenir. Qui peut dire si cette mission n’allait pas être la dernière par le temps qui court. Qui pouvait affirmer ce soir qu’elle n’allait plus avoir l’occasion de se plonger dans son regard à la fois mal assuré et si sur de lui en cet instant. Des larmes s’étaient manifestées le long de son visage si solaire à l’accoutumé. Il avait essuyé ses larmes comme les doutes qui l’habitait, qui avaient pénétrés son corps pour la ronger lentement. Cette convocation l’avait atteinte bien plus qu’elle ne l’aurait cru. Elle aurait aimé être plus digne, plus heureuse, plus resplendissante. Rien que pour lui. Uniquement pour lui. Ce n’était pas la fin de leur monde mais tout simplement le début. Chacun de ses gestes étaient tendre, doux, la respiration d’Alma était lente, incertaine, son cœur lui criait de s’accrocher à son cou, se pendre à ses lèvres mais tout appelait à prendre le temps d’apprécier les caresses, l’instant présent rien que cette fois.

« Puis-je ? »

Elle attendait cela depuis sa jeunesse, sa permission. Le seul à la lui avoir demandée, le seul à qui elle la donnera. La musique continuait encore d’être joué ? Elle n’en n’avait plus la sensation, pour autant, alors que leurs lèvres s’unissaient pour la première fois de leur vie. Elle avait la sensation d’être sur un plateau tournant, s’être dissocié de son corps alors que le baiser durait dans le temps. Elle y avait gouter, elle ne voulait plus y mettre un terme. La soirée ne faisait que commencer, la nuit leur appartenait.

A contre cœur, leur baiser avait pris fin, elle y déposait un autre plus petit, furtif avant de laisser sa tête tomber sur son épaule. Avait-elle droit d’être la plus heureuse sur terre alors qu’elle va bientôt quitter ses bras ? Avait-elle droit de le laisser espérer alors qu’ils marchaient dans le noir ? Sa main se posait sur sa joue, elle n’avait surtout pas le droit de ressentir de telles choses négatives. Elle allait allumer la lumière dans ce quart d’heure sombre et profiter le temps des baisers et caresses, la sensation d’être aimé. Rien qu’un instant. Pour la première fois de sa vie, elle allait se retourner en partant et non marcher de l’avant et croquer la vie à pleine dent. C’est avec lui qu’elle veut croquer le fruit. Elle déposait ses lèvres sur l’arête de sa mâchoire, sa joue puis de nouveau sur ses lèvres, encore un bref instant. Juste comme ça. D’un geste plus doux qu’avant, elle remontait ses lunettes et fourrage dans ses cheveux.

« On ne change pas les vieilles habitudes n’est-ce pas ? » Et ces gestes vont lui manquer.

____
La tenue d'Alma (ici)

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Regulus Black** 27.03.24 0:21

Dale a tu cuerpo alegría Macarena
Que tu cuerpo es pa' darle alegría y cosa buena

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Il se laisse aller alors à la danse ce soir, avec James. N’avait-il pas dit qu’il danserait ? Certainement n’avait-il pas prévu de danser avec le Gryffondor et certainement aussi qu’il regrettera le lendemain mais ces pensées ne sont pas dominantes dans son esprit. La remarque sur Cupidon fait rire James et c’est un sourire amusé que James ne peut voir lorsqu’il pose sa tête sur son épaule. Il est bien là quand il se rapproche à lui, quand c’est une danse qu’il maitrise un rien plus parce qu’il suffit de se laisser guider par l’autre. Est-ce aussi simple d’admettre qu’il a confiance en James ? La question n’est pas posée, juste effleurée en y pensant le temps d’un court moment encore quand il s’excuse, quand il semble gêné et à la fois ravi de ce moment rare qui n’aurait jamais dû avoir lieu. Il s’agite intérieurement quand cette pensée la fuse, bien vite balayée par l’affirmation de James. C’est comme un câlin cette étreinte dans ce qui n’est qu’une danse, une danse qui lui fait oublier un instant la présence de son frère dans la grande salle si belle pour l’occasion. Il se sent fleur bleue, niera l’avoir été le lendemain. C’est très étrange ce qu’il ressent, cette gêne de ne pas savoir si c’est réel et l’envie que ce moment dure une éternité parce qu’il est parfait.

C’est une belle soirée. Ce que pensent les autres de cette soirée n’a pas d’importance en ce moment. Pourtant, il aimerait en l’espace d’un instant qu’ils soient aussi enchantés qu’eux. Seulement il ne fait pas attention depuis le début à ce qu’il se passe autour d’eux, pas même quand Elorah manque de les bousculer. Le rouge lui monte aux joues quand James parle de sa broche. C’est difficile alors d’avoir l’air de rien quand une bouclette brune est remise en place, quand James se décale pour, il n’en sait rien, voir ce qu’il en pense ? Il n’a pas l’air si sur de lui James et pour être franc Regulus n’aurait jamais pensé que cela arrive un jour plus d’une fois dans le mois, c’est dire que cela le touche alors quand ça le concerne, quand il ne semble pas l’être pour une blague qui tourne mal, juste. Pour lui. Il rougit plus encore, n’aurait jamais cru ça possible pour lui non plus. « Je. Ce. » Il bafouille, quelque chose ne va pas, toute cette situation est trop étrange et pourtant une part de lui ne la regrette pas quitte à avoir l’air ridicule face à lui. « En fait. » Il se reprend comme il peut, n’arrête pas la danse, ne veut pas l’arrêter. C’est plus facile de ne pas trop se focaliser sur ce qu’il se passe ce soir. Il aura tout le temps de réaliser plus tard, de regretter ces mots et pensées en espérant ne pas avoir à le croiser de si tôt. Et peut-être aussi qu’il s’en voudra d’être aussi lâche.

« J’ai également hésité à t’envoyer quelque chose. » Il reste secret sur ce dont il s’agit. « Ce n’est pas bête. C’est juste surprenant. J’ai manqué de courage pour te l’envoyer. » Cela ce serait su si le courage était le principal trait pour le définir. C’est déjà pas si mal d’en parler, peut-être qu’il le lui enverra, ce dessin, d’ici quelques jours juste pour faire style, que ce n’est pas de lui. « Elle est très belle, c’était évident que je la porterais ce soir. » Cela ne veut rien dire. Il ne savait pas qu’elle venait de James, qu’il avait pensé à lui pour ce cadeau qu’il a bien fait d’ensorceler pour ne pas le perdre au cours de la soirée. « Je t’ai un peu volé à ta cavalière ce soir. » Ce n’était pas voulu, pas prémédité, ça l’embête et à la fois il a comme cette espoir que ni James, ni Azadeh lui en voudront. « C’est étrange, il y a quelque chose mais. » Il se tait. Vraiment, ce soir, il n’a pas envie de savoir ce qu’il se trame pour qu’il ait agit ainsi.

tenue reggie et la fameuse broche

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Clement Trinder** 27.03.24 8:36

Car c'était le jour de la Saint-Valentin, le jour où chaque oiseau vient choisir son partenaire

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Il essuie du bout du pouce cette larme qui roule sur sa joue, puis une autre. Pourquoi tant de tristesse dans le regard d'Alma ? Pourquoi tant de peine alors qu'ils devraient être heureux ? Pourquoi ont-ils inversé leurs rôles ? Les sourires vont tellement mieux à Alma.

Leurs lèvres se rencontrent et s'unissent. Les battements de son cœur s'emballent au rythme de leur mélodie, une chanson un peu triste qu'ils écrivent à deux, un air mélancolique et une note d'espoir. Ses joues s'empourprent comme les fleurs éclosent au printemps, mais il sourit à ce baiser. A leurs baisers. Alma est gourmande et cela ne lui déplaît pas. Lui aussi aimerait que le temps s'arrête, qu'il n'y ai plus qu'eux et qu'ils oublient tout le reste. N'y a-t-il pas un sort pour cela ? Il l'inventerait pour elle, s'il le fallait. Elle n'aurait qu'à lui demander.

Ils se détachent mais restent pourtant si proches. Un instant, Alma s'abandonne contre son épaule et il l'enlace avec douceur. Comme si elle était la plus rare des fleurs, il ne veut pas l'écraser, pas même la froisser. Son cœur bat la chamade et son sourire est niais. Si elle le voyait, elle se moquerait. Mais ça ne le dérangerait pas, il aime entendre son rire. Il aime tout chez elle ; son parfum, cette façon qu'elle a de se mordre la lèvre quand elle est amusée, ses regards emplis de malice, la sale manie qu'elle a de recoiffer ses cheveux et de remettre ses lunettes en place. Même ça, il ne peut plus s'en passer. Il esquisse un sourire pour étouffer un rire à la fois maladroit et gêné. Ses baisers l'ont fait frissonner, mais c'est son regard dans le sien qui empourpre ses joues.

« Ce serait dommage si ce genre d'habitudes venaient à changer. »

Il cueille son visage entre ses mains et prend un bref instant pour la regarder, la détailler, la contempler comme s'il la découvrait pour la première fois. Son hésitation passée, il franchit la distance qui les sépare et lui vole un bref baiser du bout des lèvres. Il lui sourit comme un enfant quand il se redresse, les yeux brillants d'une joie souvent trop réprimée.

« Veux-tu aller danser, Alma ? » Il parle avec un entrain qu'il réserve habituellement à ses plantes. « Ou aller chercher un autre verre ? Ou... Simplement rester ici ? C'est comme tu veux. »

Ses pensées s'éparpillent et il en est le premier surpris. Tout va trop vite, sa stabilité adorée vole en éclat. Il ne sait plus où il va, ce qu'il doit faire, mais si Alma est avec lui, il veut bien partir n'importe où.

« J'ai envie qu'aujourd'hui soit parfait, et que les jours à venir le soit encore plus. »

Et ils le seront, n'est-ce pas ? Pour Clement, ils ne peuvent que l'être.

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Lazarus Lawson** 28.03.24 12:29

Bal de St-Valentin 1977

Amour est un étrange maître.
Heureux qui peut ne le connaître

Après un petit moment à reprendre son souffle, Lazarus se sentait plus léger comme soulagé d’un poid, Il ne dirait pas qu’il en avait oublié la gène et la honte qu’il avait subi lors de sa chute, loin de là, mais elle s’était estompé, au profit d’un envie d’amusement.
Il rejoint un des murs de la salle en évitant tous ces couples se rapprochant du centre de la piste.
Une fois son objectif atteint il se redressa, frotta son arrière train espérant que son costume blanc ne soit pas trop sali, tira sèchement sur sa veste de costume afin de la défrosiser, remis son noeud papillon droit avant de finir par remettre en valeur son étrange broche.
Fin prêt, il se pinça un peu les joues sans trop savoir pourquoi et arbora un sourire fière.
De quoi pouvait-il bien être fière, ça, même lui l’ignorait, mais l’ambiance lui donnait envie de sourire.
Voyant le centre de la salle bien trop rempli de gens bien trop coller entre eux, Lazarus prit confiance et se dirigea, non sans longer les murs, vers le buffet dans une étranges démarches chaloupé presque en rythme sur la musique.

Il y arriva enfin, ce fut plus simple maintenant que la majorité des gens l’avait déserté au profit de la piste de danse.
Là, il prit un verre qu’il descendit d’une simple traite, tellement toutes les émotions qu'il avait ressenti en ce début de soirée l'avaient affecté.
Il se rendit compte que cela était du jus de citrouille et fit la moue, un peu écœuré.
Il ne comprenait pas pourquoi les sorcier s’infligeait une telle torture juste pour ne pas faire comme les Moldus, alors que franchement un bon jus de pomme ou un d’orange aurait été tellement plus agréable.
Il aimait la citrouille mais en plat, pas en boisson.
Il se dirigea ensuite vers les petits four, où il vit un jeune homme un peu frêle leur tourner le dos, et chercher des gens du regard, pour Lazarus c’était le moment de briller et de se faire un ami.
Il se dirigea vers lui prêt à lui lâcher son meilleur “Bonsoir” quand se dernier s’élança comme un beau diable sur la piste.
Il était doué il n’y avait pas à dire, il avait un déhanché endiablé, mais c’était comme si personne ne le remarquait réellement.
cela interrogea un instant le serdaigle.
“Serait-il comme moi ? un être que nul ne remarque réellement ?”

Quand il leva la tête et vis des choses étrange se produire.
La jeune fille qui lui avait tendu ces lunettes qui embrassa celui là même à qui elle avait fait des remontrances, plusieurs hommes danser entre eux, d’autres commettre des actes outranciers qu’il ne pourrait décrire sans enfreindre la bienséance.
Tout cela lui rappela un ouvrage sur les rites pré coïtaux chez les grands primates, qu’il avait lu il y a de ça quelques années.
Certains se cherchaient des poux, d’autres cherchaient des rapprochements physiques, mais tous finissaient par atteindre leur objectif.
Alors qu’il s’enfila quelques petit fours, il se rendit compte qu’il n’observait pas des animaux mais ces camarades et failli s’étouffer de rire.
Il sentait qu’un truc étrange se produisait, il ne savait ni quoi, ni pourquoi, ni même comment, mais ce qu'il savait c’est que ça allait être intéressant à regarder, alors il prit ni vu, ni connu, un plateau de petit four, un verre bien rempli, et s’installa à une table à proximité du buffet, donnant un excellent point d’observation sur la salle.
Il posa son fessier meurtri sur une chaise, croisa les jambes et commença à picorer en observant la scène de ces gens s’embrassant, qui allait forcément créer des jalousies et donc un bon drama comme au cinéma.

CODAGE PAR AMATIS | nombre de mots

Résumé:

Lazarus LAWSON

Et si tout pouvait se régler par la connaissance ?
Si l’ignorance n’était plus un fléau, resterait-il des maladie que l’on ne saurait guérir ?

KoalaVolant

par **Alma Delgado** 28.03.24 14:27

Car c'était le jour de la Saint-Valentin, le jour où chaque oiseau vient choisir son partenaire

LE BAL DE LA SAINT-VALENTIN

[event]

Tout tourbillonnait, ses pensées, ses frissons, ses émotions, elle ressentait une sensation de froid dans son corps mais en même celle d’une douce chaleur par les mains de Clément, son réconfort, son regard, ses baisers. Elle clignait doucement des paupières, submergé par tout ce mélange. Ce qu’elle attendait était arrivé, elle avait révélé ce qu’elle avait enfouie au fin fond de son cœur qu’elle pensait perdu. Elle avait plus ou moins conscience que tout ceci n’était pas normal, ses mors ses gestes ne sont pas maîtrisé à cent pour cent. C’est ce qu’elle avait envie oui, mais ce sont des gestes qu’elle n’avait jamais osé faire auprès de lui. Remettre ses mèches de cheveux, remonter ses lunettes étaient plus tendre, plus doux qu’à l’accoutumé, elle s’autorisait des caresses le long de sa joue, de le regarder enfin comme elle le voyait depuis des années, qu’elle s’autorise à aimer.

Ses questions la font rire, elle ne sait pas réellement ce qu’elle souhaite mis à part profiter d’être en sa présence, de ses bras tendres, de ses baisers furtifs de ce regard envers elle qui a changé du tout au tout. Fuyant, gêné tout d’abord, brillant, joyeux à présent. Elle espère qu’il décèle cela chez elle également. De la joie, de l’amour, elle veut qu’il sache que sur cette terre, il sera celui qui comptera en premier, qu’elle pourrait écrire ses sentiments sur sa peau, qu’elle donnerait sa vie si cela lui permettrait de poursuivre la sienne. Elle savait qu’il n’était pas des plus à l’aise au milieu de la foule, elle lui évitera d’être à même la piste au centre des jeunes, des attentions, des regards.

« Restons ici. » Il y avait assez de lumière pour qu’ils puissent se regarder, assez de pénombre pour garder une certaine intimité. Elle avait enfermé ses doigts dans les siens, un entrelacement comme pour sceller leur…amour ? Il était peut-être bien trop tôt pour le dire. Pour autant, elle était sûr de ses sentiments, ce soir elle les avait bel et bien compris. Était-ce l’âge ou ce drôle d’artefact qui a été posé ? Probablement les deux. En réalité peu importe.

Sa dernière phrase avait resserré les regrets et les peurs qui engouffraient son ventre, encore ce sentiment d’égoïsme qui faisait surface, elle voulait attendre son possible retour avant de se livrer, pour ne pas qu’il l’attende, pour ne pas le faire souffrir s’il lui arrivait quelque chose. Et pourtant elle ne pouvait s’empêcher d’être émue, d’en avoir les yeux qui perles de joie et de tristesse. Alma n’était pas le genre de femme à avoir la larme facile, mais ce soir était un trop pleins qu’elle ne maitrisait pas. Elle embrassait le bout de ses doigts avant de doucement les relâcher. Ils avaient entamé une douce danse, à tourner sur place sans même s’en apercevoir. De nouveau elle entourait sa nuque de ses bras. Les talons de la belle lui donnait une taille suffisante pour être proche de sa nuque, de ses oreilles et lui murmurer, lui demander, presque dans une supplication.

« Clément, embrasse-moi encore et encore. Je veux goûter tes lèvres jusqu’à l’aube, ne jamais m’endormir…ne jamais partir. »

Elle n’avait plus besoin de son autorisation mais elle avait besoin de savoir que la vie ne lui jouait pas des tours. Qu’il était bel et bien là à la dévorer du regard.

____
La tenue d'Alma (ici)

MADE BY @ICE AND FIRE.

par **Elorah Lewis** 28.03.24 14:57

J’ai tout appris dans les livres. Mais il y a des choses beaucoup plus importantes, le courage, l’amitié…

Hogwarts U.

B

al de la
Saint-Valentin

Les mains d’Elorah tournaient pour jouer avec la lumière de la salle comme si elle en maitrisait l’intensité. Elle était seule à se laisser bercer par la douce musique de la salle. Elle pourrait se sentir idiote, mais elle n’en n’avait que faire. Elle était seule comme elle l’était habituellement. Elle venait d’embrasser un garçon comme si elle venait de prendre un verre au bar. Jamais elle n’aurait imaginé poser ses lèvres sur lui jusqu’à ce soir. Elle n’arrive pas à comprendre la raison, elle l’avait vu danser avec une fille, et voulait qu’il la voie, qu’il la remarque autrement que la petite jaune qui nourris des sombrals et qui sautille à la vue des fleurs. Il avait répondu à son baiser, un simple reflexe, c’est ce qu’elle se répétait en boucle pour se persuader que ça n’ira jamais plus loin. Mais il avait posé ses mains sur ses hanches et avait fait durer plus que nécessaire un baiser qu’elle n’aurait jamais dû faire.

Prise de honte, de soulagement, de joie, elle voulait évacuer tout cela par une danse solitaire avant d’apercevoir deux autres personnes qu’elle aimait plus que tout bon peut-être une plus que l’autre. Un sourire était apparu sur son visage. Sa meilleure amie avait réussi à faire venir Severus. Comment lui refuser quoi que ce soit en même temps. Ils étaient sur la piste à danser, elle n’était pas à une danse arrêtée près, ça allait être sa troisième de la soirée. Mais ses jambes avaient fait les pas sans qu’elle en maîtrise quoi que ce soit. Elle ne contrôlait plus rien, c’était évident. Elle arrivait à leur hauteur et les entourait de ses petits bras, se dressant sur la pointe de ses converses rose.

- Je vous aime les amis. Heureusement que vous êtes là dans ma vie. Toi je t’aime, elle déposait un bisou appuyé sur le front de Charity, et toi aussi, un autre bisou sur la joue de son compagnon de potion. Elle les serres fort avant de les relâcher, grand sourire aux dents éclatantes. Et joyeux anniversaire à la plus belle des fleurs !

C’était la soirée des déclarations, elle ne pensait pas en avoir d’autres en réserve à faire mais personne n’était à l’abris d’une accolade amicale et d’un bisou sonore de la Poufsouffle en mal d’amour.

résumé : Elo repense à son baiser avec @Robin Nott pendant qu'elle danse solo et voit @Severus Snape et @Charity Burbage elle court les voir pour leur dire qu'elle les aimes et souhaiter un joyeux anniversaire à Chacha.

La tenue d'Elo avec coiffure et maquillage, Chaussures, boucle d'oreilles

MADE BY @ICE AND FIRE - Image by buzzfeed

par Contenu sponsorisé

/h4>

TC Bal de la Saint-Valentin Feat Event & @Albus P. Carter

Bal de la Saint-Valentin

FEAT @Héra M. Parkinson & les autres

Est-ce qu'on peut pas profiter de maintenant ?

Ton père peut bien dire ce qu'il veut. L'an prochain tu es majeure. Il peut pas me contrôler, il peut pas m'empêcher de t'aimer et de te désirer. Il peut pas m'éviter de m'imaginer fonder une famille à tes côtés.

Lazarus LAWSON

Et si tout pouvait se régler par la connaissance ?Si l’ignorance n’était plus un fléau, resterait-il des maladie que l’on ne saurait guérir ?

Et si tout pouvait se régler par la connaissance ?
Si l’ignorance n’était plus un fléau, resterait-il des maladie que l’on ne saurait guérir ?